Le parachutisme et la performance

Publié le par Ferdia

Le parachutisme et la performance

« La nature a horreur du vide » disait Pascal Blaise, on pourrait adapter cette citation en écrivant que la nature humaine craint la chute, elle la redoute car elle sait que celle-ci est génératrice de troubles et qu’elle peut aussi entraîner la mort, c’est-à-dire le saut dans l’inconnu. Mais désormais, cette crainte et ce danger sont vaincus. L’homme a remporté une victoire sur les forces de L’Univers et sur sa nature lorsqu’il est parvenu à dompter sa descente dans les airs par l’invention du parachute autrefois appelé parasol. A notre époque « Qui n’a jamais rêvé de faire un saut en parachute ? » A partir de la seconde moitié du XXème siècle, le parachutisme fait partie de la catégorie des sports extrêmes, il procure des sensations au degré le plus intense suite à une grande montée d’adrénaline. Ce sport relativement peu répandu intéresse un nombre croissant de personnes depuis le saut de Félix Baumgartner. La France comptait en 1999 ,15 000 licenciés, puis 32 000 en 2004 et en enfin 36 000 en 2012. D’après ces chiffres on peut observer que le parachutisme est en voie de développement. Le parachutisme est un sport mais aussi un loisir qui permet de chuter d’une hauteur allant d’une centaine de mètres pour les mateurs à plusieurs milliers pour les professionnels. Félix Baumgartner l’a prouvé en sautant en parachute à 39 kilomètres dans la stratosphère. C’est ce saut que nous avons visionné tous les trois devant nos télévisions le 14 octobre 2012, il était impressionnant mais aussi terrifiant. Cette expérience phénoménale a commencé par l’ascension du ballon gonflé d’hélium de 168 mètres qui a durée 2 heures 35 minutes et 40 secondes. Pendant cette montée nous étions très inquiets à l’idée qu’il ne résiste pas à la chute physiquement, qu’il perde connaissance, que sa combinaison se déchire, que les cordes de son parachute ne tiennent pas le choc à son ouverture ou que son parachute ne s’ouvre pas. Puis durant la chute qui a durée 4 minutes et 20 secondes nous avons été impressionnés par la vitesse qu’il prenait et le nombre de rotations qu’il faisait sur lui-même (140 rotations par minutes) puisqu’il n’était confronté à aucune résistance de l’air. Suite à cet évènement nous avons décidé de choisir l’évolution du parachutisme dans la recherche de performance comme sujet pour notre TPE, puisque nous nous sommes beaucoup interrogés et nous avons voulu trouver des réponses à nos questions. Après de nombreuses recherches informatiques et documentaires nous en sommes venus à la problématique suivante : Par quels progrès techniques le parachutisme a été développé au point de soutenir un homme ayant dépassé le mur du son ? Davantage d'information est disponible sur le site de l'agence de ce baptême de parachute à Maubeuge. Cliquez sur le lien.

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